lKlo a écrit : (les remarques en gras et rouge sont de moi)
Oui, je ne rigole pas (enfin, pas sur le coup), this is NOT a joke: c'est cet après-midi, dans les environs de 13h30 en cours de Physique que j'ai eu mon plus gros et mon meilleur fou-rire de l'année, nous faisant perdre à Clèm et à moi 5 bonnes minutes de chance d'avoir un 20 à notre TP (Résultat du TP: 2% d'erreur seulement, et un 20!!)
Soit, Mise en scène: - Vous écrivez le protocole, je validerais et si au bout de 10 minutes vous l'avez trouvé, c'est un 20 (deux fois il nous a promis un 20 qu'i n'a pas tenu --') Dans une sorte de... Mouvement d'intelligence, sûrement, Clèm prend un gros bouchon qui servait à boucher l'évier (sur le coup je le savais pas ^^) et le met dans une énorme éprouvette graduée pour me montrer ce qu'il fallait faire... Manque de pot... Le bouchon était trop petit... Il est donc resté coincé dedans, à une dizaine de centimètres de profondeur, et l'on voyait Clèm qui luttait pour le faire sortir, puis le prof (qui était mort de rire au début, faut l'avouer) , puis re Clèm. J'étais en larmes, tout le monde me regardait alors que je me tordais sur ma chaise, ne pouvant pas m'arrêter alors que Clèm tentait désespérément tout en riant (en essayant de contrôler son rire pour arrêter de pleurer et y voir enfin quelque chose XDD) à enlever ce fucking bouchon. Le prof a fini par s'énerver et secouer l'éprouvette tellement fort que le bouchon a sauté plus loin, rebondissant sur le sol, le plafond puis le sol. (Tout le monde a rigolé XD j'ai adoré quand il a tapé contre la lampe ^^) Horrible, tout simplement fou-rire monumental, j'ai eu besoin d'un mouchoir pour essuyer mes larmes >< Merci Clèm, merci xD (DE RIENNNN ce fut un plaisir ^^)

(Ben justemennnt \o/)

Film vu hier avec Mathilde. Verdict? Génial.
Synopsis : Un fête a lieu, en plein cœur de Manhattan.  Et d'un coup, alors qu'elle bat son plein, cette fête tourne au cauchemar. Tous les habitants sortent de l'immeuble et... C'est le chaos. un monstre ravage la ville. Caméra au poing, ils décident de mettre sur cassette leurs aventures, afin qu'on se rapelle d'eux, qu'on les croie, qu'il reste une trace de la catastrophe qui était en train de se passer, au cas où le pire arriverait.
Ce que j'en ai pensé ? ... Waw. Les scénaristes ont du génie.
Au début, on a du mal à se mettre dans l'ambiance de la fête : On était venu voir un film d'horreur. Et là,  lorsqu'on est enfin immergé dans cette ambiance,  "ça" arrive. La terre tremble et un immeuble explose. Tout le monde sort. Et tu comprends l'ampleur du désastre quand la tête de la statue de la liberté atterrit en plein Manhattan. Et ils continuent de filmer. Parce qu'ils veulent laisser un témoignage. Une preuve de la catastrophe. Caméra au poing, ils font face aux pires horreurs imaginables. Et c'est bien. On est à fond dedans. et quand on sort de la salle on dit rien. Y a le silence. "Ouaw."
On en sort la tête le pleine de questions. (Attention si vous avez l'intention d'aller le voir, ne lisez pas le texte en gris)
D'où venait le monstre? Comment sont-ils morts? Est-ce qu'ils ont réussi à l'éradiquer? Et pourquoi "CloverField", d'ailleurs? On ne sait pas, on ne saura jamais, et c'est mieux comme ça. Et l'ironie de cette histoire, c'est que certains héros ont réussi à survivre au monstre, et ils se sont fait tuer par le gouvernement. J'ai adoré le moment de la morsure. Avec la fille qui "explose." Enfin bon, y a beaucoup de moments que j'ai aimé - La tête de la statue de la liberté qui tombe, le scène de la morsure, la chute de l'hélico... Et le film est vachement bien tourné, parce que l'horreur surgit pile au moment où l'on ne s'y attend pas. Toujours. A chaque fois.

Juste ce film on peut pas en parler. Quand on me demande de le résumer, je dis "Un monstre attaque New-York." Y a rien d'autre à dire, mais c'est tellement plus que ça.

In recent days, a seemingly random group of individuals has emerged with what can only be described as "special" habilities.  Although unaware of it now, these individuals will not only save the world, but change it forever. This transformation from ordinary to extraordinary will not occur overnight. Every story has a beginning. Where does it come from? This quest? This need to solve life's mysteries, when the simplest of questions can never be answered.  Why are we here? What is the soul? Why do we dream? Perhaps we'd be better off not looking at all. Not delving, not yearning. That's not human nature. Not the human heart. That is not why we are here. This quest.  This need to solve life's mysteries. In the end, what does it matter when the human heart can only find meaning in the smallest of moments?  They're here. Among us. In the shadows. In the light. Everywhere. Do they even know yet?

Where does it come from? This quest? This need to solve life's mysteries, when the simplest of questions can never be answered. Why are we here? What is the soul? Why do we dream? Perhaps we'd be better off not looking at all. Not delving, not yearning. But that's not human nature, not the human heart. That is not why we are here. Yet still we struggle to make a difference, to change the world, to dream of hope. Never knowing for certain who we will meet along the way. Who among the world of strangers will hold our hand. Touch our hearts and share the pain of trying. We dream of hope. We dream of change. Of fire, of love, of death. And then it happens. The dream becomes real. And the answer to this quest, this need to solve life's mysteries finally shows itself. Like the glowing light of a new dawn. So much struggle for meaning, for purpose. And in the end, we find it only in each other -- our shared experience of the fantastic, and the mundane... The simple human need to find a kindred, to connect, and to know in our hearts that we are not alone.

The sun rises on a new dawn. Yet few of us realize the debt we owe to those responsible for this. To those who dwell among us, anonymous, seemingly ordinary, whom destiny brought together to repair, to heal, to save us from ourselves. If evolution can do this for even the smallest of creatures, then why not these human beings? And they're still out there, among us, in the shadows, in the light. We pass them on the street without a glance, never suspecting, never knowing. Do they even know yet?. That they are bound together by a common purpose, a glaring reality, to be extraordinary? Teleportation, tissue generation; these are no longer simply theories: I have seen them with my own eyes. And when destiny does anoint them ... How do they hide from it? How long can they dwell in the shadows before either fate or their own flawed humanity draws them out into the light again? And how will they know what awaits them when it finally does? And not only are these special individuals among us, they bear a curse.

Si je pouvais juste revenir en arrière et faire des choix différents je le ferais.  Je le ferais avec plaisir.
Si je pouvais effacer certains sentiments je le ferais. J'aurais tellement voulu.

J'suis désolée. J'suis désolée si j'vous fais du mal. C'est involontaire.

J'voudrais que ça se passe autrement. J'vous promet que c'est vrai. J'voudrais que ça se passe autrement mais j'veux pas que ça se passe une deuxième fois. Pas ça. J'sais pas quoi faire. Franchement, j'suis paumée. Et j'crois que ça me fait plus de mal que ce soit comme ça plutôt que ce soit autrement - désolée si c'est pas clair, moi j'me comprends.Désolée si je fous tout en l'air. Again. J'voudrais pouvoir faire quelque chose. Vous aider. J'voudrais arrêter de m'en vouloir. J'voudrais arriver à dormir sans somnifères la nuit. J'voudrais arrêter d'avoir mal au ventre et envie de vomir en permanence. J'voudrais arrêter de stresser inutilement. J'voudrais arrêter d'avoir l'impression d'avoir le cœur qui casse, tout le temps. J'voudrais pouvoir penser à autre chose.

Mais j'peux pas.

Faut quand même que je raconte (en retard, certes, mais mieux vaut tard que jamais) ce concert de Bullet For My Valentine

Je retrouve ma Klo à la gare à 18h03, avec un grand YATTA. Après achetage de ticket, on monte et on dit des conneries en évitant de regard désapprobateur des autres. ( "Au prochain arrêt, on bourre la reine xD" )
On sort, retrouve mon père dans la voiture, qui nous emmène à l'Olympia. Une fois arrivées et installées, malgré quelques galères pour trouver l'Olympia (merci papaaaa xD), on descend voir les garçons qui, eux, étaient dans la fosse (oui, c'est des fous eux.)
On taille sur les émos et les poufiasses, et Still Remains (première partie) commence à arriver.
Bonne musique, j'ai beaucoup aimé, c'était sympa, je connaissais pas. Ils ont joué trois quart d'heure je crois, puis c'était l'entracte. Délires avec Klo, rigolage de bon cœur pour un malentendu qui restera entre nous =)
La fosse bougeait un peu trop, on avait vraiment peur pour les garçons.
Un mec a réussi à monter sur la scène et s'est fait sortir de la salle par les vigiles.
Puis j'ai perdu le fil, je sais juste que j'ai pas arrêté de chanté ni ne me suis assise une seule fois. Je sais juste qu'ils onr
t fini sur "Waking the demon" et que c'était magnifique. Et que ma voix ne suivait plus. Ma gorge m'a lâché vers la fin de la chanson.
Rentrées à minuit moins le quart, sans voix et les oreilles cotonneuses.